Polars - S.F
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Reflex
Résumé : Photographe de l’identité judiciaire, Iris Baudry est discrète, obsessionnelle, déterminée. Disponible nuit et jour, elle shoote en rafales des cadavres pour oublier celui de son fils, sauvagement assassiné onze ans auparavant.
Les larmes noires sur la terre
Il a suffi d’une fois. Une seule mauvaise décision, partir, suivre un homme à Paris.
Sacrifices
“Un événement est considéré comme décisif lorsqu’il désaxe complétement votre vie. Par exemple, trois décharges de fusil à pompe sur la femme que vous aimez.”
Atmosphère glaçante, écriture sèche, mécanique implacable : Pierre Lemaître a imposé son style et son talent dans l'univers du thriller.
Lemaitre hisse le genre noir à une hauteur rarissime chez les écrivains français : celle où se tient la littérature.
Jean-Claude Buisson, Le Figaro Magazine.
Lauréat du Prix Goncourt 2013 pour “Au revoir là-haut”
En savoir plusLes chiens de Détroit
Détroit a perdu ses repères. Ses habitants l’abandonnent. Ses enfants disparaîssent.
En savoir plusLa morsure des Ténèbres
de nouveau, de la façon la plus atroce.
Deux gamins et quelques adultes fatigués ne devraient pas peser bien lourd! C’est oublier que le courage et l’humour peuvent être aussi corrosifs que l’acide.
Brigitte Aubert apporte ici, avec sa maestria coutumière, une suite
surprenante à Ténèbres sur Jacksonville En savoir plus
La morsure des Ténèbres - MP3
Après que le village de Jacksonville a été englouti dans les flammes de l’Enfer, la petite poignée de survivants essaie de réapprendre à vivre normalement. Mais les Forces des Ténèbres, toujours affamées, se rassemblent, et le Mal frappe de nouveau, de la façon la plus atroce. Deux gamins et quelques adultes fatigués ne devraient pas peser bien lourd! C’est oublier que le courage et l’humour peuvent être aussi corrosifs que l’acide. Brigitte Aubert apporte ici, avec sa maestria coutumière, une suitesurprenante à Ténèbres sur Jacksonville
En savoir plusTénèbres sur Jacksonville
Ténèbres sur Jacksonville - MP3
Avant qu'un corps portant la trace de violences cannibales ne soit découvert en bordure de la ville, avant qu'une odeur d'outre-tombe mais étrangement vivante n'imprègne peu à peu les esprits, avant qu'un membre des forces de police ne disparaisse en pleine rue, à la tombée du jour, la petite cité de Jacksonville était une bourgade paisible.
En savoir plusLe jardin du bossu
“Il était là, le con ! Rond comme un bidon. Entouré d’une floppée d’ivrognes encore plus saouls que lui. Je ne l’avais jamais vu en ville. J’ai demandé au Gus qui c’était. Il n’en savait rien. J’ai recommandé une bière. Le type se vantait. Il ne parlait que de son pognon. Il en avait, puisque qu’il payait les tournées en sortant de sa poche des poignées de billets. Il refusait la monnaie. Il s’y croyait. Le con. Ah, le con ! Le Gus m’a dit qu’il était déjà saoul en arrivant. Il avait touché la paie ou quoi ? Il buvait du blanc limé. De temps en temps, il se levait et chantait une connerie. Il y a connerie et connerie. Les siennes, c’était des conneries de l’ancien temps. On n’y comprenait rien. Des histoires de drap du dessous, que c’est celui qui prend tout. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Il retombait sur sa chaise, comme un sac. Il se remettait à parler de son pognon. Il en avait des tas. Stocké dans le tiroir de la salle à manger. Tout en liquide. - T’as pas peur de te faire attaquer ? a demandé un des gars.”
En savoir plusLe jardin du bossu - MP3
“Il était là, le con ! Rond comme un bidon. Entouré d’une floppée d’ivrognes encore plus saouls que lui. Je ne l’avais jamais vu en ville. J’ai demandé au Gus qui c’était. Il n’en savait rien. J’ai recommandé une bière. Le type se vantait. Il ne parlait que de son pognon. Il en avait, puisque qu’il payait les tournées en sortant de sa poche des poignées de billets. Il refusait la monnaie. Il s’y croyait. Le con. Ah, le con ! Le Gus m’a dit qu’il était déjà saoul en arrivant. Il avait touché la paie ou quoi ? Il buvait du blanc limé. De temps en temps, il se levait et chantait une connerie. Il y a connerie et connerie. Les siennes, c’était des conneries de l’ancien temps. On n’y comprenait rien. Des histoires de drap du dessous, que c’est celui qui prend tout. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Il retombait sur sa chaise, comme un sac. Il se remettait à parler de son pognon. Il en avait des tas. Stocké dans le tiroir de la salle à manger. Tout en liquide. - T’as pas peur de te faire attaquer ? a demandé un des gars.
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